Les délégués de plus de 30 pays se sont réunis à Bogotá, en Colombie, pour un sommet d'urgence dirigé par le Groupe de La Haye, visant à prendre des mesures politiques, économiques et juridiques concrètes contre les actions militaires d'Israël à Gaza. La rapporteuse spéciale des Nations Unies pour Gaza et la Cisjordanie, Francesca Albanese, a appelé à une action mondiale immédiate, y compris des sanctions et la rupture des liens avec Israël, pour mettre fin à ce qu'elle et de nombreux participants décrivent comme un génocide. Le sommet marque une rupture significative entre une grande partie du Sud global et les puissances occidentales, en particulier les États-Unis, qui ont condamné l'initiative. Les participants comprennent des pays d'Amérique latine, d'Europe, d'Afrique et d'Asie, signalant une large poussée internationale pour faire respecter le droit international et mettre fin à l'impunité israélienne. La conférence devrait annoncer des mesures coordonnées pour faire pression sur Israël et relancer les efforts en faveur de la justice et de la paix en Palestine.
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